Début des années 1970: tout va très bien, madame la marquise...
Begin jaren '70 loopt alles nog redelijk gesmeerd in het Zeepreventorium. Maar de eerste tekenen van de ondergang zijn al zichtbaar: de oliecrisis ten gevolgen van de Jom Kippoeroorlog en de eerste autoloze zondagen in de winter van 1973-1974. Weldra zal de oliecrisis uitbreiden tot een economische crisis. |
1970 - 1975
Salvatore AdamoDit was de tweede keer dat Salvatore Adamo in het prevent optrad. Hij had trouwens meer succes in vlaanderen dan in wallonië! Et nous en sommes déja aux années 1970. Les concerts organisé dans la salle Triton (Nuits féeriques) apportent toujours autant d'argent (bien nécessaire), mais cet argent est maintenant utilisé à la réalisation de Prevent Print un atelier protégé où travaillent des personnes handicapées. Salvatore Adamo était déja venu au prévent 10 ans auparavant, au tout début de sa carrière. Il avait d'ailleurs plus de succes en flandre qu'en wallonie à cette époque! Quand je n'étais pas au prévent, ma mère, mon père et moi allions boire un verre au café. Le juke box jouait immanquablement "Mes mains sur tes hanches".
C'était aussi l'époque du TAK, du VMO et de la volksunie. Comme le concert avait été diffusé sur la BRT, un mandataire volksunie n'a pas trouvé mieux que d'interpeller le ministre (Chabert) à propos de ce manquement de la BRT! …petit pays, petites gens… disait déja Léopold II de la Belgique et il n'avait pas encore fait connaissance avec les milieux extrémistes de flandre. Deux artistes moins connus ont aussi leur place au panthéon des bienfaiteurs du prévent: Franck Pourcel et François Glorieux. Le Lycée Marin a même reçu le nom d'école Franck Pourcel. Il était un chef d'orchestre, compositeur et arrangeur très connu à l'époque. Sur la photo à droite en haut les classes d'art dans les dunes. Les murs de ce batiment serviront plus tard de mur de la contestation où tout le monde était invité à écrire ce qui ne marchait pas au prévent.
Twee minder bekende artisten die zeker een plaats verdienen tussen de weldoeners zijn Franck Pourcel en François Glorieux. François Glorieux gaf regelmatig concerten voor de kinderen. Het waren geen gewone concerten, de kinderen waren uitgenodigd om mee te werken aan een stukje muziek dat ter plaatse gecomponeerd werd. Al spelend leerden de kinderen een beetje klassieke muziek en wat notenleer. Dat waren gebeurtenissen om nooit te vergeten! François Glorieux is ook te zien op de zeepreventorium-film Het huis in de duinen François Glorieux a donné régulièrement des concerts pour les enfants. Pas des concerts traditionnels; les enfants étaient invités à participer à la création d'une pièce de musique. Tout en jouant, les enfants apprenaient un peu de musique classique et les rudiments du solfège. Un concert que je n'ai jamais oublié! François joue dans le film sur le préventorium "La maison dans les dunes"
Dagen van de vlaamse gidsEn fait, ce qui importe, c'est le banquet à l'Astel (avec la beuverie qui l'accompagnera). Les gens viennent pour un week-end (en théorie: de discussions, ce qui permet de refiler la note de frais au fisc), mais en fait il n'y a pratiquement personne lors des discussions. Le thème de 1972 est "schrijven vrouwen echt zo slecht", un thème qui fait vraiment fureur dans les chaumières. De Tritonzaal werd ook gebruikt voor de "dagen van de Vlaamse Gids", de Vlaamse Gids was een cultureel en litterair tijdschrift van liberale strekking (zoals F. Alexander). Weinig inspiratie voor deze (waarschijnlijk zeer saaie) bedoeningen: dezelfde zaalopmaak (bloembakken, verlichting, stoeltjes) werd gebruikt voor de opeenvolgende samenkomsten. Waarschijnlijk lazen ze ieder jaar dezelfde teksten voor! Wat meer belangrijk was, was het banket dat in de Astel voorzien was. Een week-end aan de kust voor 730 frank, en je kan de kosten zelfs aftrekken! Waarschijnlijk waren er zeer weinig mensen aanwezig op de besprekingen in de Tritonzaal. Het onderwerp van 1972 was "schrijven vrouwen echt zo slecht", voorwaar een thema dat synoniem is met volle zalen en een hysterisch publiek. La suite (fin 1970): la crise du pétrole, les dimanches sans voiture pendant l'hiver 1973-1974 et la crise économique qui s'en est suivie aura des conséquences désastreuses pour le préventorium. |
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