Karel Joostens explique comment était la vie au Hôme.
Karel Joostens geeft ons een inzicht in het leven in de Familia. |
Het leven in de Hôme Familia
Au lieu d'écrire au tableau, on utilisait des lettres magnétiques. Le hôme avait une petite piscine (sur la photo: Marcel Sluyts et Karel Joostens en 1969). Pas aussi grande que la piscine du préventorium dans ses années de gloire, mais suffisante pour sa fonction thérapeutique. met zicht op de Sparrenduin Cette photo est prise dans le bosquet en face de l'institution. Au fond de l'image, le Sparrenduin, qui était un centre de vacances (un peu comme Sunparks, mais en plus vieillot). Ce centre à décliné fin des années 70. Il n'était plus ouvert que certains week-end et pendant la période des vacances. Puis la partie près du driftweg a été abattue pour faire place à des appartements de vacances. Il y avait un carrousel. Je l'avais en horreur, j'avais directement la tête qui tourne.
Tout comme au prévent, sieste obligatoire après le repas de midi! Il faut que le repas de midi profite au maximum. Cette tradition vient d'avant la seconde guerre mondiale: les enfants doivent reprendre des forces pour éviter d'attraper la tuberculose. Avec son petit nombre d'enfants handicapés, le Hôme Familia ressemblait à une grande famille. Je me rapelle les voyages en minibus au port d'Ostende et le tourne disque. Les enfants qui venaient en colonie dormaient eux dans les grands dortoirs et n'avaient pas tout ce confort, si je peux dire. Il me semble qu'il n'y avait aucun contact entre les deux groupes. J'ai aussi bien vécu en colonie de vacances et dans le groupe d'enfants handicapés.
Il y avait une sorte de piscine sur la cour, mais elle n'a jamais été remplie d'eau. Aucune idée à quoi elle pouvait servir... Tekst van Karel Joostens
Er waren 4 paviljoenen met elk een groep gehandicapten (kinderen).
In het eerste paviljoen zaten de polio’s (polio-kinderen vooral Franstalige)
Er waren zowel Nederlands- als Franstalige kinderen en monitrices en de Franstaligen werden bevoordeeld.
Tijdens de ergotherapie deden we oa houtbewerking (vliegtuigjes, bootjes ea) en pottenbakken. Ik herinner me nog zeer goed de fiets-figuurzaag (figuurtjes zagen waarbij het zaagje op en neer bewoog tijdens het fietsen).
Er waren afzonderlijke klassen voor de gehandicapten en de zgn koloniekinderen die er tijdens het schooljaar verbleven.
Tussen de gehandicapten en de koloniekinderen waren er omzeggens geen contacten.
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mon E-mail est temegastudio@belgacom.net merci d'avance Daniel Garcet |
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